Abidjan – Au total 57 jeunes ouest-africains, soit 36 garçons et 21 filles, recevront leurs attestations, mardi au Centre Songhaï de Porto-Novo, au Bénin, à l’issue d’une session de renforcement de capacités d’un mois initiée par le Centre de développement de la jeunesse et des sports de la CEDEAO (CDJS/CEDEAO).

Pour l’édition 2016, les candidats viennent de 11 Etats membres de la CEDEAO. Il s’agit du Bénin, du Burkina Faso, de la Gambie, de la Guinée, de la Guinée-Bissau, du Liberia, du Mali, du Niger, du Nigéria, du Sénégal et du Togo, rapporte un communiqué de presse de l’organisation régionale transmis lundi à l’AIP.

La session, démarrée le 21 novembre, devrait permettre aux stagiaires d’améliorer leurs connaissances dans des filières telles que l’agriculture, l’élevage, la pisciculture, la transformation agroalimentaire et l’artisanat.

Les formations de renforcement de capacités au profit des jeunes ouest-africains sont organisées chaque année depuis 2007, au Centre Songhaï de Porto-Novo, par le CDJS/CEDEAO, basé à Ouagadougou, au Burkina Faso. Elles ont permis à ce jour la formation de 630 jeunes entrepreneurs, dont 265 filles, dans les domaines de l’agriculture, de la transformation agroalimentaire, de la pisciculture, de l’élevage et de l’artisanat.

Ces formations s’inscrivent dans la dynamique de l’emploi des jeunes et se proposent, entre autres, de renforcer les capacités d’entrepreneurs de ces derniers, de contribuer à leur insertion socioprofessionnelle, d’accroître leur employabilité, d’appuyer leurs projets et de favoriser le développement de partenariat entre eux.

Pour bénéficier de ces formations, les jeunes ouest-africains des deux sexes devront être instruits, de bonne moralité et âgés de 18 à 35 ans. Ils auront également à choisir l’un des modules (agriculture, transformation agroalimentaire, pisciculture, élevage et artisanat).

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Comme beaucoup de personnes j’ai connu l’Afrique à travers des stéréotypes : l’Afrique est pauvre, il y a la guerre, famine… Je suis devenu entrepreneur pour briser ces clichés et participer à la construction du continent. J’ai lancé plusieurs entreprises dont Kareea (Formation et développement web), Tutorys (Plate-forme de e-learning), AfrikanFunding (Plate-forme de crowdfunding). Après un échec sur ma startup Tutorys, à cause d’une mauvaise exécution Business, un manque de réseau, pas de mentor, je suis parti 6 mois en immersion dans l’écosystème Tech au Sénégal. J’ai rencontré de nombreux entrepreneurs passionnés, talentueux et déterminés. A mon retour sur Paris je décide de raconter leur histoire en créant le média AfrikaTech. L'objectif est de soutenir les entrepreneurs qui se battent quotidiennement en Afrique en leur offrant la visibilité, les connaissances, le réseautage et les capitaux nécessaires pour réussir. L'Afrique de demain se construit aujourd'hui ensemble. Rejoignez-nous ! LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/boubacardiallo

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