Le prix SEED fait partie d’un programme international qui reconnaît les start-ups innovantes et respectueuses de l’environnement dans les pays en développement et les aide à développer leurs entreprises et à montrer l’exemple.

Il a récompensé cette année des projets tels que des sacs à base de banane au Kenya, des bancs d’école fabriqués à partir de déchets plastiques au Burkina Faso, l’amélioration des moyens de subsistance pour les producteurs de café et la protection des gorilles de montagne en Ouganda. Sélectionnés parmi plus de 300 candidatures, les activités retenues touchent aux domaines de l’agriculture, de la gestion des déchets, de l’énergie, de la fabrication, de la conservation de la biodiversité et du tourisme.

Tous les lauréats

Comme le souligne Erik Solheim, responsable de l’ONU Environnement, les initiatives récompensées ne perçoivent pas la protection de l’environnement comme un coût ou un fardeau, mais comme une opportunité.

Les lauréats de ce prix fondé en 2002 par le Programme des Nations Unies pour l’environnement, le Programme des Nations Unies pour le développement et l’Union internationale pour la conservation de la nature ont été annoncés le 13 juillet dernier lors d’un Forum politique de haut niveau à New York.

Ils bénéficieront de  conseils commerciaux et financiers personnalisés, des services de marketing et de publicité et de mises en relation avec des organismes de financement, les décideurs politiques et d’autres moyens de soutien. Ils rejoignent également le réseau des 200 lauréats du prix issus d’Afrique, d’Asie et d’Amérique Latine).

« Dans le contexte peut-être de notre plus grand défi mondial – répondre aux demandes croissantes des consommateurs tout en gérant des ressources naturelles de plus en plus sollicitées, de nombreuses entreprises éco-inclusives, telles que celles reconnues par le prix SEED cette année, transforment les défis en opportunités et, ce faisant, font partie intégrante d’un changement radical important dans la façon dont nous commerçons », Inger Andersen, directrice générale de l’UICN.

 

Source : communiqué de presse du PNUE

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CEO AfrikaTech

Comme beaucoup de personnes j’ai connu l’Afrique à travers des stéréotypes : l’Afrique est pauvre, il y a la guerre, famine… Je suis devenu entrepreneur pour briser ces clichés et participer à la construction du continent. J’ai lancé plusieurs entreprises dont Kareea (Formation et développement web), Tutorys (Plate-forme de e-learning), AfrikanFunding (Plate-forme de crowdfunding). Après un échec sur ma startup Tutorys, à cause d’une mauvaise exécution Business, un manque de réseau, pas de mentor, je suis parti 6 mois en immersion dans l’écosystème Tech au Sénégal. J’ai rencontré de nombreux entrepreneurs passionnés, talentueux et déterminés. A mon retour sur Paris je décide de raconter leur histoire en créant le média AfrikaTech. L'objectif est de soutenir les entrepreneurs qui se battent quotidiennement en Afrique en leur offrant la visibilité, les connaissances, le réseautage et les capitaux nécessaires pour réussir. L'Afrique de demain se construit aujourd'hui ensemble. Rejoignez-nous ! LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/boubacardiallo

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